Réduire le stress abiotique
Les plantes subissent un stress abiotique pendant la culture. Plus vous préparez votre culture contre ce stress, moins il entraînera de perte de rendement.
Pratiquement chaque culture est soumise à une forme de stress pendant la culture. Lorsque le stress est causé par un organisme vivant, comme des champignons ou des insectes, on parle de stress biotique. Les stress abiotiques sont des conditions de croissance sous-optimales causées, par exemple, par la sécheresse, l’excès d’eau, les températures extrêmes, le stress salin, les carences en minéraux et le ralentissement de la croissance ou les dommages à la suite d’une pulvérisation de produits phytosanitaires. Tant que le facteur de stress ne persiste pas trop longtemps, les cultures peuvent, en principe, bien supporter le stress. Mais en cas de stress prolongé ou structurel, la culture réagira par une réaction de stress. Bien que ce mécanisme de survie soit efficace, il exige une grande quantité d’énergie de la part de la culture, avec pour conséquence une éventuelle perte de rendement et de qualité. Il est donc essentiel de soutenir la culture autant que possible en cas de stress persistant. La cause d’un stress biotique (une maladie ou un parasite) ne peut être contrôlée qu’avec un produit phytosanitaire approuvé. Dans cet article, nous n’abordons donc que le soutien de la culture en cas de stress abiotique.
Le stress au début de la culture
Le début d’une culture est une période pendant laquelle la jeune plante (pousse) est très sensible aux influences météorologiques et autres menaces. En effet, la plante est à peine enracinée et a encore trop peu de feuillage pour répondre à ses besoins énergétiques. Il est donc important de soutenir la culture dans cette phase initiale cruciale.
Stress dû à des conditions (météorologiques) extrêmes
Lorsqu’une culture traverse une période de stress, par exemple à cause de la sécheresse ou du froid, ou immédiatement après une pulvérisation d’herbicides ou de fongicides, la culture y réagit par une réaction de stress. Une réaction de stress nécessite la production de nouvelles protéines, et donc aussi une grande quantité d’acides aminés et d’énergie. Des recherches ont montré que lorsqu’une culture sous l’influence du stress se voit offrir des acides aminés par le biais d’une pulvérisation foliaire, la culture peut utiliser ces acides aminés directement pour la production de protéines. La culture doit donc consacrer moins d’énergie à la réaction de stress, ce qui peut empêcher le ralentissement de la croissance et la perte de rendement.
Stress dû aux carences en minéraux
En plus des éléments principaux (N - P - K) et secondaires (S - Ca - Mg), chaque culture nécessite également une quantité d’oligo-éléments. Malgré les quantités relativement faibles d’oligo-éléments nécessaires, l’absence d’un seul élément peut avoir des conséquences majeures. Après tout, une chaîne n’a que la force de son maillon le plus faible.
Optima Leaf-Trace est un engrais foliaire composé d’un mélange de fer (Fe), de manganèse (Mn), de zinc (Zn), de cuivre (Cu), de bore (B) et de molybdène (Mo). En utilisant Optima Leaf-Trace, un produit fournit ainsi les sept principaux oligo-éléments dans les proportions adéquates. Grâce à sa composition unique, Optima Leaf-Trace empêche les effets antagonistes des oligo-éléments apportés. Appliquez Optima Leaf-Trace au moins deux fois en cas de carence en minéraux ou réduisez l’absorption des minéraux par la racine, à raison de 1,0 l/ha.